Franz Jetzinger en 1956 cherche à confirmer cette théorie. Il recherche donc cette famille Frankenberger et trouve effectivement une famille de ce nom à Graz. Problème, cette famille est déjà de confession catholique (et non juive !), mais surtout le fils de famille en 1837 (année de la conception d'Aloïs Schicklgruber) n'avait que 10 ans alors. Sinon, aucune autre famille Frankenberger n'est recensée à Graz et aux alentours en 1835.
Brigitte Hamann, dans "la Vienne de Hitler", explique que la présence d'un juif à Graz est peu vraisemblable historiquement puisque les juifs n'obtiendront le droit de s'installer en Styrie qu'en 1849 (après avoir été expulsés de la région au XVIe siècle) et qu'une communauté juive ne s'est reconstituée en toute légalité à Graz qu'en 1856.
Enfin, pourquoi imaginer qu'Anna Maria Schicklgruber ait été domestique à Graz... soit à 200 km de Stones, alors que Linz voire Vienne sont beaucoup plus proche de son domcile.